De Damas à Orléans, Nabil Attar, nous parle de sa reconversion professionnelle réussie
Article mis en ligne le 26 mai 2021
dernière modification le 31 mars 2022

par Ismaël 2MRC2 2020-2021, Rafaël 2MRC2 2020-2021, Romain 2MRC2 2020-2021, Sarah 2MRC2 2020-2021

En Syrie, Nabil Attar gagnait très bien sa vie. Sur Twitter, il se présente encore comme « Banking cards and bill payment systems consultant ». Mais, il y a eu la guerre civile et avec sa femme et ses deux enfants, il a du fuir son pays. En 2015, il a trouvé asile en France. Il a d’abord obtenu une carte de séjour de 10 ans, puis la nationalité française.
Aujourd’hui, ses enfants ne savent pas écrire leur langue maternelle et étudient en français. Il a refait sa vie et changé de métier et c’est lui qui nous accueille dans son restaurant, rue de Bourgogne.

Nous on aime bien manger et on trouve que c’est une bonne façon de partager et de découvrir de nouvelles cultures. Bref, de s’enrichir. Mais, à cause du confinement, ce n’est pas facile. On ne peut plus partager de repas surtout avec des inconnus, on ne peut plus aller au restaurant et du coup, les restaurateurs, non plus, ne peuvent plus s’enrichir...

Alors, on a décidé d’en parler avec Nabil Atar parce que les épreuves il connait et il sait rebondir. Comment a-t-il fait pour repartir à zéro ? Comment fait-il aujourd’hui pour faire face à la pandémie. C’est ce qu’il nous explique.

Nabil Atar et sa femme devant leur restaurant, Narenj

- Merci à Philippe Magnier qui a organisé la rencontre et à Franck Ballanger pour ses bonnes questions
- Dispositif Interclass’